M-N. Fausse alerte à UQAM

Mardi dernier, les policiers ont reçu un appel venant de l’UQAM signalant que des coups de feu avaient été entendus. Ils ont finalement découvert que ce bruit provenait de l’ascenseur ils ont trouvé des pétards. Ils ont  aussi trouvé, dans un bâtiment voisin, un sac non-identifié contenant des balles de fusil ainsi que des couteaux.

Le tout c’est produit en début d’après-midi. Deux événements suspect ont eut lieu à peu près en même temps, le concierge de l’université à trouvé un sac bourgogne  sur lequel était déposé des douilles et les élèves ont entendu des coups de feu.  C’est donc cinq minutes plus tard que la police fit son entrée à l’université.

Les policiers ont alors évacué le pavillon d’éducation de l’UQAM afin d’entamer une enquête. Ils ont finalement trouvé des pétards éclatés dans une cage d’ascenseur et ont prit en charge le sac trouvé par le concierge. D’après les quelques images que les policiers ont pu voir sur les caméras de surveillance, il pourrait y avoir un lien entre les pétards et le colis suspect. Il leur reste par contre beaucoup d’heures de visionnage à consacrer afin de trouver le ou les auteurs de cette mauvaise plaisanterie.

Le lendemain matin, un autre employé à l’entretien à encore trouvé quelque chose de suspect en nettoyant les toilettes. Cette fois-ci, c’était une boite de la grosseur d’une boite à soulier. Lorsque l’employé l’ouvrit, il y découvrit ce qui pouvait ressembler à une bombe. La police s’est aussitôt occupée de neutraliser le colis avec l’aide du Groupe tactique d’intervention. Ils ont aussi trouvé, avec le colis, des bâtonnets, une minuterie et des fils.

Encore une fois, le pavillon a été évacué, mais plutôt dans le calme. Plusieurs personnes ont alors divulgué leurs hypothèses face aux deux incidents. Plusieurs étudiants pensent que ce sont les vendeurs de drogue du quartier qui auraient voulu jouer un mauvais tour à la police qui dérange souvent leur trafic de drogues. Le directeur de l’UQAM, tant qu’à lui, croit que c’est un élève qui a voulu échapper à un examen puisque c’est présentement le fin de la session. Il affirme que ce n’est pas la première fois qu’on retrouve un colis suspects en période d’examen.

Durant l’alerte, les élèves sont plutôt restés calme. Par contre, trois étudiants ont subis des chocs nerveux. La police, quant à elle, a une idée de qui pourrait être le coupable et envisage de l’interroger. Le ou les coupables pourraient être accusés d’avoir mis en place une enquête policière pour rien.

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